Martine LAPIERRE

7 rue de la République

16600 MAGNAC-SUR-TOUVRE

06 12 38 46 07

grapho.delieplume@sfr.fr 

Questions fréquentes

  • Différence entre graphologie et graphothérapie ?
    Ces termes, comme l'indique leur suffixe grapho-, ont la même racine grecque graphein « écrire, décrire, tracer ». Si l'écriture constitue leur point commun, l'angle d'approche les différencie. En effet la graphologie est une technique d'observation et d'interprétation de l'écriture manuscrite permettant de révéler le portrait psychologique et la personnalité d'un scripteur. Alors que la graphothérapie se définie comme la rééducation de l'écriture pour la rendre plus lisible, plus soignée, rapide et moins douloureuse… en un mot plus efficace pour retrouver le plaisir d'écrire.

 

  • Le bilan est-il nécessaire ?
    Oui, le bilan est nécessaire car, outre la contextualisation de la demande, il comporte différents tests qui vont permettre l'analyse des troubles graphiques du scripteur et ainsi la mise en place d'un plan de rééducation individualisé.

 

  • Quels documents sont nécessaire lors de la consultation ?
    -    Cahier d'école de l'année en cours
    -    La trousse avec le stylo utilisé en classe
    -    Les bilans écrits d'autres professionnels (orthophoniste, psychomotricien, psychologue…)                                                                                                
  • Combien de séances sont prévues ?
    Le nombre de séances est variable selon les troubles du scripteur, sa motivation et le travail quotidien. Toutefois, il faut compter environ une dizaine de séances avant de retrouver une écriture confortable.                                                                                                                                            
  • Faut-il s'entrainer à la maison ?
    Oui. Les activités proposées lors des séances doivent être poursuivies à la maison. Consacrer chaque jour une quinzaine de minutes à la répétition du geste permet de l'automatiser et ainsi de progresser plus rapidement.

 

  • Collégien ou lycéen, n'est-il pas trop tard pour rééduquer son écriture ?
    Il n'est jamais trop tard pour envisager une rééducation graphique dés lors que la démarche émane du scripteur lui-même. Si l'élève en ressent le besoin et qu'il choisit de remédier à ses difficultés, sa motivation n'en sera que meilleure et par voie de fait les résultats substantiels.

Modèle créé par Martine LAPIERRE